Loin des cris de violence qui résonnent, Passe le mur de silence, abandonne, Pose tes pas sur mes traces de fièvre, Accroche-toi à mes rêves. Suis-moi dans les mondes imaginaires. On s'en va de l'ombre à la lumière. Pour que rien ne se fige, Suis-moi jusqu'au vertige. Suis-moi jusqu'au bout de l'avenir, Dans les ciels d'espace où tout chavire De démons et merveilles. Suis-moi jusqu'au soleil. Tu n'auras plus jamais peur de la nuit. Si tu me donnes la main aujourd'hui, Fais-moi confiance, j'ouvrirai les portes. Ferme les yeux, je t'emporte. Suis-moi dans les mondes imaginaires. On s'en va de l'ombre à la lumière. Pour que rien ne se fige, Suis-moi jusqu'au vertige. Suis-moi jusqu'au bout de l'avenir, Dans les ciels d'espace où tout chavire De démons et merveilles. Suis-moi jusqu'au soleil. Suis-moi, suis-moi... Au-delà de l'ennui, tu me suis Jusque dans mes folies, mes défis, Même en équilibre sur un fil qui danse, Comme des oiseaux libres qui s'élancent. Suis-moi dans les mondes imaginaires. On s'en va de l'ombre à la lumière. Pour que rien ne se fige, Suis-moi jusqu'au vertige. Suis-moi jusqu'au bout de l'avenir, Dans les ciels d'espace où tout chavire De démons et merveilles. Suis-moi jusqu'au soleil. Suis-moi, suis-moi, Suis-moi, suis-moi... Suis-moi dans les mondes imaginaires. On s'en va de l'ombre à la lumière. Pour que rien ne se fige, Suis-moi jusqu'au vertige. Suis-moi jusqu'au bout de l'avenir, Dans les ciels d'espace où tout chavire De démons et merveilles. Suis-moi jusqu'au soleil. Suis-moi, suis-moi, Suis-moi, suis-moi...
Compositor: Paroles: Jean-Marie Moreau. Musique: François Feldman