Il s'appelait John Parker Lee, John Parker Lee, John Parker Lee. Son paradis, C'était de voyager sa vie. Il était toujours en partance. Il sautait Dans ses trains de nuit, De galaxies en galaxies, Puis revenait en fulgurance Nous donner à voir, Nous donner à prendre. Je ne peux rien Dire de plus De cet homme-là. Il n'était ni mieux Ni plus mal. Il était different, C'est tout. John Parker Lee, Le magnifique, Venait des plaines de l'Iguana. Brouillard ses yeux, Brouillard sa voix, De la brume Aux bouts de ses doigts. Il y a comme ça Dans la vie De merveilleux passagers Qui croisent nos existences Et nous font L'instant de beauté Où il nous semble Que l'on dialogue Avec les anges. Il y a comme ça, Dans la vie, Poussière de soie, Brillant d'étoiles, Papillon de nuit, De merveilleux passagers Qui jouent D'étranges musiques Qui nous tanguent Le cœur et l'âme. John, John, John Parker Lee, L'homme qui dansait sa vie De trains de nuit, De galaxies en galaxies. Un jour, Il n'est pas revenu Mais il a laissé dans nos vies Ses récits aux couleurs d'ambre Et l'on chevauche nos rêves Pour le rejoindre Dans son univers, Et l'on saute dans ses trains de nuit, Et l'on roule en Super-Express, De galaxies en galaxies, Et l'on dialogue Avec les anges. Tu as bousculé nos vies, John. Qu'elle était belle, ta difference ! Papillon de soie, Papillon de nuit, John. Vivre sa vie, Comme on la danse. Il s'appelait John Parker Lee, John Parker Lee. Il voyage Dans ses trains de nuit, Ailleurs Sur d'autres galaxies. John, John, John Parker Lee, L'homme qui dansait sa vie, De galaxies en galaxies, Le magnifique, John. Il s'appelait John Parker Lee, Venait des plaines d'Iguana, Brouillard des yeux, Brouillard sa voix, John, John, John Parker Lee.